Florian Sénéchal (Deceuninck-Quick Step) : “On a fait un train parfait pour Fabio [Jakobsen], et il a dit à la radio : 'Florian, tu peux sprinter !' Alors on a attendu. Bert van Lerberghe a fait un superbe travail, je suis resté calme et j'ai donné le maximum dans les 200 derniers mètres. Je pense que Fabio a eu une crevaison. Je ne réalise pas encore que j'ai gagné une étape du Grand Tour. C'est fou. Au début, je pensais que Démare allait me dépasser, ou Matthews, je ne sais pas… Mais personne ne l'a fait. Je ne sais pas commnt remercier mes coéquipiers. Ils ont fait un travail fou pour me mettre dans la position parfaite. Merci mille fois. J'ai de la chance aujourd'hui et je suis très heureux pour ma famille, mes amis et ma femme. C'est un beau cadeau."
