Egan Bernal (Ineos Grenadiers) : “Il fallait être dans l'expectative, tout pouvait arriver. La course pouvait être tranquille avec l’échappée ou s’emballer, il faut être prêt à tout. [Narvaez et Van Baarle étaient devant] pour essayer de gagner l'étape. Ils peuvent avoir leur chance, il s'agit aussi de jouer les étapes. La vérité est qu'en mettant de côté le temps que j'ai perdu, je me sentais bien dans la montée et j'avais de bonnes jambes, jusqu'à ce que je me gare. [Suivre l'attaque de Roglic], c’était un peu l’instinct du coureur, je me sentais bien et je suis sorti après lui. C’est le vélo : attaquer puis exploser. La chaleur ne me fait pas trop mal, j'espère bien me défendre aussi dans les Asturies, même si le froid ne m’aide pas. Il faut y aller au jour le jour.”
